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Après avoir recherché en vain un attaquant de pointe pour
finaliser son recrutement, Guy Lacombe se laisse tenter par le bon coup de
cette fin de période des transferts : Eidur Gudjohnsen.
S’il
ne correspond pas au profil initialement envisagé, Gudjohnsen
est pourtant sur le papier bien plus qu’une solution de rechange. Milieu
offensif capable de marquer beaucoup de but, Gudjohnsen
à su s’imposer à Chelsea puis tenir son rôle de joker à Barcelone. Le
joueur dispose de toute els qualités nécessaire pour s’imposer dans le
championnat de France et beaucoup d’espoirs sont placés en lui.
Malheureusement
ce recrutement, bien que gratuit, va se révéler être un échec cuisant.
Recruté tardivement et en cours de forme, Gudjohnsen
doit patienter pour réellement intégrer l’équipe. Une fois opérationnel, le
joueur islandais va être étonnement discret sur le terrain, incapable de
s’intégrer dans le collectif monégasque. Certes, l’on ressent par moment
une certaine aisance technique mais ses prestations d’ensemble sont proches
du néant.
Lacombe
insiste et l’aligne plusieurs fois mais aucun signe d’améliorations ne
viens poindre à l’horizon. Devant le manque de progrès et le malaise du
joueur, la décision est prise de s’en séparer de manière prématuré. Il part
sous forme de prêt à Tottenham pour le restant de
la saison.
Indésirable à Monaco à l’orée de la saison 2010/2011, il faut
attendre la toute fin du marché des transferts pour le voir trouver un
accord définitif en Angleterre. Un échec qui restera dans les annales.
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