Formé à Rennes et aguerris à Laval et
Nancy, Patrick Delamontagne est alors considéré
comme l’un des plus gros espoirs du football français. Collectif, technique
et rapide dans ses exécutions, Delamontagne
progresse toutefois lentement et ce n’est qu’à 25 ans qu’il attire les
convoitises des grands clubs. Gérard Banide qui
apprécie grandement son profil réussit à le convaincre de choisir Monaco.
Pourtant, Delamontagne ne confirmera pas les
espoirs placés en lui. Gêné par quelques blessures et subissant la
concurrence de Bijotat et Barberis,
il éprouvera les pires difficultés à se faire une place dans l’effectif. Le
départ de Barberis lui permettra de jouer plus
souvent dès la saison suivante mais la chance est passée pour ce joueur qui
ne confirmera jamais vraiment.
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